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Au cr​é​puscule

by Matière Sombre

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[AJT/ Matière Sombre] De grosses peines à nos frais, quelques centimes aux étrennes faudrait oser frère, ôter le stress, toucher le vrai… mais les égarés votent extrême ! Trop égoïstes pour qu’on s’unisse Indifférents aux supplices que des proches subissent Luttes fratricides stupides, artifices du vice J’ rêve d’armistice sublime Injustices indénombrables, patronat indétrônables Gars trop nazes indémodables Israël blindé d’ soldats, le Hamas veut scinder le Mossad Conflits interminables, comme les guerres des gangs de motards Infatigables, comme les talibans des montagnes Pulsions haineuses qu’alimentent le mental Ralliement lamentable Combats d’idées mais morts d’hommes Ceux qui font la guerre sont jamais les mêmes que ceux qui l’ordonnent J’hallucine et m’emporte Génocide au Cambodge, homicides qu’on colporte [Refrain, Kazodah] On est insurgés, jusqu’à que la mort nous efface On lève le poing, resserre les liens car on veut laisser nos traces Crois moi, on ne baissera pas les bras, Crois moi, on ne baissera pas les bras, Crois moi, on ne baissera pas, se rabaissera pas, comme de véritables insurgés ! [Fondzy/Musikal’Chimie] Sous la grêle on navigue, insurgés dans le navire Seuls face à l’avenir, Quoiqu’il arrive, on avise Insurgés, insoumis, à fond dans l’insolence Engagés, il n’y aura pas un silence Fond’1mental, c’est bestial, c’est spécial, respectable J’assure le spectacle Ne fais pas l’hypocrite, tu connaîtra le sourire du paria impeccable Y’a du niveau par là L’État est mafieux, regardes Sarko et Carla Le soir, ça ramasse les cadavres sur l’ carrelage Insurgés face aux costards blancs, avares Rien dans le cœur, tout dans l’ cigare d’ la Havane Nectar d’idées, pétards dealés Etat des faits d’ mes gars secrets Fait gaffe, c’est prêt, la bombe dans l’ombre se crée Mattes mes rimes, dangereuses comme Jacques Mesrine 2010, tous dans le disque et dans les risques [Refrain, Kazodah] [Snake / Musikal’Chimie] Puisque l’État se moque de nous, nous met des bâtons dans les roues Nous manipule grâce aux médias et puis après nous mettre des coups Nous resterons insurgés, maîtriseront l’art de la guerre A la Sun Shu, moi je m’ enfous, je reste débous, jamais à genoux Partis d’la case naissance, j’n’ viens pas d’la case mitard Donc comme un kamikaz, j’ pars avec ma conscience Me taper contre l’ENA et les sénateurs vieillards J’irais imprimer mes lois sur les sièges du Sénat On m’a appris à marcher, à lire et à penser Grâce à l’éducation, j’suis difficile à dompter J’n’irais jamais m’faire traire comme une vulgaire vache à lait Dans une main une mitraillette et dans l’autre, un chapelet J’coulerais Deviliers dans une chapelle, l’assommerais avec une pelle M’arrêterais quand je verrais une germe métisse chez Le Pen Quand je verrais Sarkozy sous un pont, Porte d’la Chapelle Ou quand je verrais Hortefeux au sein d’une chorale de Gospel [Merkur/Musikal’Chimie] C’est l’son des insurgés, c’est d’la qu’la bête a surgit Mon inspi dans l’cendrier, préparez vous à l’incendie J’ne rendrais pas mon tablier, battant jusqu’à ma sortie Tu t’croyais fort mais t’as plié, mes larmes on en sponsor le Hennessy Ca s’pique les veines ici, si j’sors l’calibre c’est pour ré-ti J’suis pas c’pélo qui hésites, ma putain d’haine est sans limite J’ai l’goût de la révolte, insurgés face aux démons A la vitesse d’Usain Bolt, à la dizaine, les proches j’ démonte Perdus dans les décombres, c’est en centaine qu’ils se dénombre J’avance dans la pénombre armé car ici la paix ronge J’rougis ton drapeau blanc d’mes coups d’nerfs sanguinaires Au front jamais sur l’banc, j’suis d’humeur révolutionnaire Rejoignez les rangs, moi c’est Merkur le missionnaire La rage aiguise mes dents, moi, j’m’en bas les reins d’être millionnaire Insoumis, j’le suis dans l’sang, qui veux la paix prépare la guerre Tu préfères t’admirer le gland, moi j’les amènerais au cimetière [Refrain, Kazodah]
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[AJT / Matière Sombre] Tout artiste se fabrique, se façonne, se fascine, se passionne Hallucine, élucide des mystères qui l’assomme échouer ou réussir, écœuré ou réjouis , esseulé ou réunis Star posthume ou vivante imposture Tous le même but, on épouse la même plume Même si le rap est mort, il ne sera jamais vaincu (yhé!) Des impurs afflux, j'assume, m’insurge, assure, assume Même si j'fais que, réinventer la roue, c'est à ma sauce, un assaut d'amazones, un vaisseau sur la Saône montes le son dans ta zone Prêts à s'évader, détaler, déballer détailler, décrier, décimer, dépiter, débiter, éditer Exister et briller éviter les clichés limiter les sifflets, imiter les plus vrais Refrain [Heartical Theos] La roue tourne toujours dans le même sens alors on le détourne Fini le temps de regarder toutes ces personnes qui en dé-coudent y'aura toujours le bon et le mauvais alors c'est à nous de choisir, quand faut y aller, faut y aller [breaky] La mélodie d'un art maudis a étais vendu, Plus Rien ne coule de source c'est du linge déjà étendu ... Fou j'suis devenu depuis, que musicalité... S' répète en usine comme un produit de mauvaise qualité ... Réinventer la roue, De nos jours trop d' Mcs la pousse... Malheureusement pas sur la route mais trop souvent dans la brousse! Ca m'as foutu la frousse, quand je m’suis demander: Pourquoi dans l'rap tous s'ressemble un peu comme les soirées mondaines? Tu veux l'originalité? fait ta demande... Ma créativité tend la main comme tous les mendiants... Ma déception lutte mais s'intensifie Jai fait part de mon jugement et même les instances s'y fient! C'est l'heure du renouveau, Le temps d'une ère nouvelle C'est de l'or qu'ils nous faut, L'argent fait défaut et des siennes Et si j'en fait des scènes, C'est pas de la comédie, J te l'ai déjà dit ma peur est saine Car beaucoup trop copie! Parfaire notre art, trop tard ils ont pas su faire... Ce qu'il font est fragile un peu comme l' Éléphant sur le verre Faire l' A.J.T Pourra jamais vraiment suffire... Ils veulent le succès alors qu'il n'ont jamais vraiment souffert! Refrain [Heartical Theos] [Snake/ Musikal’Chimie] Je suis un rappeur, narrateur, orateur, trop sincère Sans repère depuis l’heure où le « 20 heures » et le Saint Père L’étagère est remplie de vinyle en orfèvre, Difficile de savoir ce qu’ils n’ont pas encore fait Ma voix est l’reflet d’mon époque , ça se ressent sur la partition Saches que même si j’ fais un flop, j’y entrevois la perdition Je te parlerais toujours de mes potes qui eux aussi, entre sourire et haine Et tant pis si ça ressemble à Akhenaton/ Shurik’N Je réinvente la roue et j’en ai marre de pédaler Alors que certains sont sur des yachts, ne connaissent plus l’ bruit des pavés Ca fait râler alors j’le fait à travers chacun d’mes couplets Faut du toupet pour recouler quand le pays vient à couler Oui, c’est vrai, c’que j’fais est déjà entendu J’n’ai peut-être aucun mérite, si c’n’est d’être moi même Je suis « Monsieur Tout L’Monde » avec un stylo plume Si tu cherches du charisme, écoute Rhoff et Wallen
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Refrain [Kazodah] J'écris ces mots comme si c'étaient les derniers Mon cœur est lourd sur le papier Le temps passe mais dans ma tête, rien ne s'efface (rien ne s'efface) Avant la fin (hein, hein, hein) Je revois ces images Oh! j'espère laisser une trace, dans cette vie [AJT/ Matière Sombre] On s' brule les yeux à regarder le futur mais assumer le passé reste le plus dur Divisés par ces cultures, tous égaux, dans la sépulture L'argent est inutile au Nirvana, l'heure tourne faut qu'on s 'évertue Intérimaire sur Terre, pas d' frontière sur mon périmètre Les guerres sont périmées Fini de faire pleurer pères et mères J' marche au soleil, insolent insulaire du sommaire à l'éternel sommeil la soif de savoir m' soulève dans les sphères interstellaires Passé morcelé, cœur brisé, comme la porcelaine Tout seul, lorsque la porte se ferme... sur les erreurs que j'ose refaire J' cause de fait, les maux s' déferlent, grosse défaite Et au fond de moi... un gosse décède Refrain [Kazodah] J'écris ces mots comme si c'étaient les derniers Mon cœur est lourd sur le papier Le temps passe mais dans ma tête, rien ne s'efface (rien ne s'efface) Avant la fin (hein, hein, hein) Je revois ces images Oh! j'espère laisser une trace, dans cette vie [Fondzy / Musikal'Chimie] Entre ténèbres et lumières, le destin affecte œil froid, trait du faciès immobile face à l'infecte saches qu'on n'entre pas dans les cour à l'improviste Les actes trahissent, la bonté, jamais n' s'improvise et dire que j' suis qu'une somme d'atomes entremêles une poussière dans un grand tout, esseulé matière grise en action, les yeux grands ouverts j' profite simplement de c' que la vie m'a offert Poussière dans un grand tout, j' contemple ce grand ensemble l'air et sa structure moléculaire avant de basculer et d' finir en cendre j'espère ramener des images de mon passage dur terre court voyage mais passionnant comme celui de Gulliver trop d' doutes, car trop d' mystères comme univers Le côté gauche de ma poitrine bât au rythme des vainqueurs de ceux qui s' battent pour leurs principes avec honneur Philosophie nacrée, mots gravés à l'encre noir c'est ma vérité, une partie que j' te laisse entrevoir je le ressens comme cette ange, qui sur mon épaule me guide, m'aide à faire le vide Refrain [Kazodah] [Minsk] Périr, voilà un mot quand t'es p' tit qui t' fait rire Un jour, faut bien grandir et voir les premiers partir J'essaye de n' pas m' voiler la face et ne pas fuir j' sais qu' la mort n' tiens pas en place, elle veut te nuire tôt ou tard, y'a une trêve pour un nouveau départ dans un monde de rêve où le riche côtoie le clochard si faut monter au ciel, j' veux être escorter par un ange voir la lumière blanche de ce phénomène étrange personne ne peut lutter contre le sort et ses crasses avant qu' le soleil n' s' efface, je veux vivre, laisser ma trace j'ai peur d' la mort et ses frasques de la roue et ses casses, tout peut aller très vite, j' sais que tout est sécable Est-ce que l'on peut vivre et est-ce que l'on peut s' marrer? Et si l'on peut s' marrer, est-ce que l'on peut pleurer? Car si l'on pleure, face à l'échec, la mort ou la peur alors j' guette le crépuscule pour un monde meilleur Refrain [Kazodah]
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Heure 2 War 05:08
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Refrain [AJT / Matière Sombre] A l'ancienne, dans un cercle ou sur la scène J' t' annonce frère, on reste vrais et sincères Le fric, rien à foutre, pas venu s' la couler douce Tir à boulets rouge, pour qu' la foule écoute [AJT / Matière Sombre] J'te raconte pas d' conneries, c'est simple Pas d'histoires bidons, d' remix farfelues Percer dans l'art c'est dure Longe procédure, grosse étude Faut des tunes, des causes, des buts alors j'ose et j' lutte 11 piges et je suis toujours qu'au début Chacun son truc et c'est défendable donc j' ferais jamais l'apologie des ventes d'armes des vandales ou l'appel à la haine du gendarme Ni taulard, ni bandit, rien n' sert de mentir Quand l' masque tombe, trop tard pour s' repentir Les mittos existent depuis la Grèce Antique et avant qu' la presse le dise, tu la pressentis [Black Shadow / Cartel Export] Représentant, j'ai voulu plaire à tous mes frères mais casé sur le terre-terre, je m'insère en clair Fier, vrais et sincère, je resterais peu d'intérêt à mon égard, dès mon départ, c'est c'que j' laisserais Le rap, c'est personnel et pertinent ton effectif est fictif, c'est du vent, petit impertinent j' fais pas du « rap game » dans mes écrits et y'a du sang sur mes cris de haine et pense qu'à une vie sans peine J' t' avoue, j' n' ai jamais eu la rime facile mais mon taf paye cash, même le diable, je fascine ici bas, j' crache mon vécu, sans malentendus, sans sous entendu 69200, l'étendard en vue Refrain [AJT / Matière Sombre] [Kreyfd-J / Happy Funerals] Je travail mon image pour attirer dans mon sillage Je travail mon image pour pas caler au démarrage Je travail mon image quitte à rajouter des trucages Longtemps dans l’hésitation je n’ai jamais su quoi porter Jean slim, baggy, chaine en or ou piquants sur un collier J’ai vite capté que pour chanter Il faut un style qui fasse rêver Que si t’es neutre, t’es dans la meute du lambda sans intérêt Car c’est veste en cuir pour le rock Ou casquette pour le rap Cliché pour l’époque où tout tourne autour des sapes T’es à la masse si dans tes clips t’as pas de pétasses dans ton équipe Ma liasse passe pas dans la frime je met des centimes dans ma musique Je voulais faire du métal mais les piercing me font mal J’évite les coups de soleil casquette vissé sur mon crâne Rappeur, c’est l’étiquette sur mon front Bordel non, j’aime les chemises et les vestons Ça fait déjà quinze piges que je réfléchi à un tatouage Une putain de tête de mort ou un pit-bull qui a la rage J’ai pas d’identité je suis pris dans l’engrenage Et je travail mon image J’travail mon image Refrain [AJT / Matière Sombre] + Outro par Mamie Suzanne
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[AJT/ Matière Sombre] Souvent délaissé, j’ai du laisser tomber l’épée Jamais totalement désarmé, désormais… C’est des souvenirs, du collège, du lycée J’ai grandi, pris des centimètres, éprouvé des sentiments, Même sans qu’elle m’aime Perdu sur mon île, comme Napoléon à St Hélène J’attends l’amour sans délais, Seul, sans pote, sans collègue L’océan est silencieux Et je peux à ceux que j’ trouve si chanceux Ma vie, une rivière menant à la cascade J’oublie cette fin en cherchant un casse-dalle Ma faim confine mon esprit à la survie J’ai l’envie de rendre services Mon cerveau asservit aux codes et règles Et les égarés souhaitant le suicide savent que la corde est raide En constante, je recherche la vérité Et c’est la consternation, face aux mystères de la constellation Trop de questions, donc j’ prend l’amour comme consolation Refrain [Kazodah] J’ai bravé les obstacles, je poursuis ma route malgré les tacles Je ne renoncerais jamais, je reste vrai J’essaye de toucher le ciel La route est longue (bis) jusqu’à la tombe La route est longue (bis) jusqu’à la tombe [Le Gaz/ Félonik] Ils disent pas la vérité c'est pour ça qu'en cours on dort Les hommes se prennent pour des dieux comme avec une couronne d'or AJT y'a peu d'amour, je corrobore, la mort je cours au bord Vite qu'on redore nos vies qu'on renaisse, laisse laisse Ce qui t'agresse, pélo déstresse. La route est longue on attend là on prendra l'express, Je prépare mon visa. J'ai vu des visages les imagine c'est bizarre dans le plus beau des paysages pas Ibiza mise à part ça on fait nos vies et personne au phone les amis s'éparpillent comme le pollen, s'oublient comme les poèmes... Le vrai je sais que peu l'aiment, méconnu comme les peuls, très vraies mes lettres peuvent l'être même traitres je ne suis qu'un homme...pour elle: Destinée, meskina, je fais le tour de la question l'aiguille de la Festina, fascinééé.. par les distances entre astres, existence, contrastes, je veux une subsistance sans trace. Ce qui sera long certes: me laver de mes pêchés; Là je vais me dépêcher, chercher la paix chez le Puissant prêcher le bien ou se taire... Austère, hostile aux strass au stylo je trace des rimes au style grave. Gaz, inspi asséchée je ne suis pas un bavard. L'échec et chaque choc ne sont que tests, Sheitan te charme. Comme un pétale se fane tout est signe ici-bas. Plus de six milliards, le cœur des petits s'initie mal, le pur s'y dissipa. Refrain [Kazodah] [AJT / Matière Sombre] Pour toujours, comme ce temps perdu dont mesurer l’étendue conditionne à la démence Les regrets cimente ce sentiment d ‘vide immense Décidément, j’ reste un fugitif D’une vie conforme dont j’ connais qu’ les rudiments Mais trop ces rues démentes découvertes imprudemment Croisant ceux qui payent chaque jour le prix du manque Le cœur forgé par ces carences récurrentes L’ingratitude trop courante m’écœurant, conquérant Découragé, à la vue du ciel ombragé Souvent sous l’orage, initialement rarement sur les rails Finalement, me formatant puisque la mort m’attend Ma part d’utopie rétrécissant à force de croiser des passants trop réticents, ce monde m’abrutissant à jamais, mes rêves d’enfant se sont volatilisés j’ai vandalisé ma propre histoire, courber ma trajectoire pris des voies contradictoires en troquant trop souvent, la défaite contre la victoire Refrain [Kazodah]
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J’m’envole [AJT] Hors délais, en dehors des règles, j’rêve de bords de mers, D’îles désertes, de milles desserts, de filles très seines, De gloire comme Elvis Presley, Tête brûlée prenant des risques extrêmes, Le temps passe et son rythme m’effraie Faut qu’on vivre mes frères, d’la merde vite s’extraire Soumis à l’arbitraire, pas à l’abri d’un autre Hitler D’une crise identitaire, d’un tyran autoritaire, … avant ces heures, j’voudrais qu’on m’dise « Avé César » aimer ses airs, pacifique comme Aimé Césaire armer d’ces ailles, pas camé mais zen l’espoir comme kérosène vison du Nirvana comme Kurt Cobain J’oublie ma tête et le cœur m’emmène Une odeur m’engraine, j’m’envole, m’éveil M’enfui, c’est vrai : exil irréel ! Refrain [AJT]: J’m’envole ! loin des hommes, dans les airs un monde zen, un désert sans désordres avance au hasard, au grès d’mes désirs, rêve des heures au plus près du plaisir [Minsk] J’ai pris un aller simple, je voulais m’en aller zinc Casser les barrières et les frontières : vas y viens ou trinque ! A la santé de la liberté et de la sincérité c’est mérité : la vérité a triomphé Je passe de ville en ville sur les 5 continents Traverse iles, idylles, ma vie je l’aime maintenant Finit les deals débiles, le temps c’est plus de l’argent C’est de l’utile tu tilts, on parle de vrais sentiments Pas de détour ici, c’est droit à l’essentiel l’amour a transformé le matériel en artifice superficiel Ce monde est stable, la paix s’installe, c’est officiel l’infâme et le malin ne sont que fables existentielles Jeunes et vieux, y’a plus de prétentieux Plus de vicieux, d’envieux, c’est tant mieux Le merveilleux remplace le malheureux Dans ce lieu harmonieux je m’envole à sans milles lieux [AJT] Satisfait nulle part, j’cours partout, parcours des bornes Change de vie d’époque, j’ai le code Quantum : milles vies, milles visages Vagabond sans visa, sur le grand large sur la plage d’Ibiza, Dans l’Bazard, j’marche au hasard, sage comme Theresa Recherche le palais de Shérazade, j’fuis les razzias, Usé par l’érosions des années, j’veux marquer les annales, Utopique comme les « anars », zonard Banlieusard, aux buts dérisoires, Du future à la préhistoire, j’traverse les territoires, J’brise mes habitudes, Change d’attitude, d’latitude, la routine capitule ! Demain : c’est l’inconnu, l’imprévu, l’incongru Intrus inattendu, Prétendant détendu, près des tendances défendues J’lève l’étendard, matte l’étendue Refrain [AJT] Outro en italien par Digiomassy

about

Compositions intégralement originales par Comin Death
Mixage et mastering par DJ Speed
Paroles et interprétation par AJT, Kazodah, Le Gaz, breaky, Musikal'Chimie, Heartical Theos, Laurine Arcel, Kreyfd-J, Minsk & Blackshadow

credits

released April 10, 2013

© 2012, Matière Sombre Productions, Tous droits réservés
Enregistré à Villeurbanne (69), France par Comin Death
Pochette réalisée par Laura And
Pour nous contacter :
Matière Sombre : matieresombre.contact@gmail.com

DJ Speed : www.facebook.com/djspeed69
Laura And : laurafirepower.blogspot.fr/2011_08_01_archive.html

Remerciements: DJ Speed, Laura + tous ceux qui ont posé avec Matière Sombre & l'entourage musical d'hier et d'aujourd'hui: Minsk, breaky, Rapsa, Le Gaz, Laurine, Fondzy, Merkur, Snake, Heartical Theos, Kazodah, Paule Emploi, Kreyfd-J, Blackshadow, Killowatt, Vicdo, Lucio, Lucien 16'S, Daf, Hamedy, Larim Masta, Antho (Gatsun Radio), Viviane (CCO), Portuno...

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Matière Sombre Lyon, France

Matière Sombre est un groupe de rap, qui s'inscrit musicalement dans la lignée de 2 sous-catégories : le "rap conscient" et le "rap instrumental", appelé aussi "abstract hip-hop".
Originaires de l'agglomération de Lyon, le compositeur Comin Death et le rappeur AJT ont formé Matière Sombre en juin 2010.
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