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Panorama Paradoxal

by Matière Sombre

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1.
[AJT] Caractère subversif, terre à terre j’pulvérise Place à faire, dur et vif, rien à perdre, je résiste C’est la guerre, l’hérésie, un éclair, une éclipse Grave les nerfs, frénésie, brave et fier, j’lutte, écris Pacifiques atypiques, de l’appétit, athlétiques, Applaudi ! Phrases nocives, pas d’profit, atrophie la chronique Comin Death/ AJT, les erreurs commises blessent, à dire vrai Le mal domine, stress, abrités Le succès comme une perche à chopper On profite, s’presse, sans s’priver La folie s’dresse à côté Matière Sombre, esquiv’ les trous noirs Les coups bas, les pouravs, plein d’courage On combat, on condamne, on s’débat dès l’départ Refrain [AJT & DJ Speed] Entre espoir et amertume/ Dés l’départ t’es convaincu Parfois rose, parfois gris/ Le monde est nuancé, notre musique l’est aussi [AJT] Ovni sonore, on explore les galaxies On s’exporte, c’est la doctrine C’est du sport, on l’a compris Voyage astral, on s’téléporte Un astrolabe, un télescope, Art sauvage, on pète le score J’ai des projectiles pour qu’le projet vive Loin des projecteurs, marche progressive Progressiste, jacte des problèmes tristes Sempiternelles, les fausses promesses brisent La sagesse des anciens et leurs proverbes guident Humanité perdue dans l’univers infini Entre passé et présent, limite imprécise On s’immisce dans l’espace-temps Portes parole d’un message franc Refrain [AJT & DJ Speed] Outro [AJT] Entre espoir et amertume/ Entre les tares et la vertu
2.
[Lucien 16'S] Il s’croit dans l’vrai, comme ses nouveaux potes dans la tribune Il s’est procuré le bombers, l’écusson cousu au manche Croit avoir des valeurs, celles du drapeau tricolore et des burnes La casquette d’un virage, docks, lacets blancs : son nuage Au dessus de sa tête patriote, c’est dégage ! Et flanquer des bugnes, à qui le fera, de croiser les bras Tatoué aux couleurs d’une équipe de foot de division Une ! Futile « 98 », porteur d’espoir maladroit D’une société multiculturelle mise à mal dans ses plumes Ce même « 98 », bloqué au cadran de l’exploit Malheureux sport populaire, refusant la défaite vu la thune Que touche un "11" gladiateurs, plus question d’quotas, d’couleurs Lorsqu’il s’agit d’ faire péter le score au compteur et d’toucher la lune Aux supporters, fiers et frères plus de père en fils Avec la haine de l’adversaire, sponsorisée par la pub Refrain [Lucien 16’S] Un pas en avant, 3 pas en arrière Les souvenirs d’un autre temps font la drague au populaire Comment est-ce possible qu’il n’y voit pas la surenchère ? Lorsque l’on tente de faire resurgir le fantôme d’Hitler Un pas en avant et 5 en arrière S'agit il d'un contretemps qui ralentit leurs affaires? Comment est-ce pensable? N'ont-ils pas vécu sur Terre? L'ignorance tue mais croient dur comme fer à notre enfer [AJT] Les mecs honnêtes s’font buter comme Lumbumba La politique, c’est la jungle, coup d’boule bam ! En scread, DSK s’ tapait des tapins d’luxe Jusqu’à qu’les médias lui mettent le grappin dessus Bunga-Bunga chez Silvio pendant que les parrains tuent Lavage de cerveau pour gouverner plein d’incultes Signe des temps, Sarko s’accouple avec la trainée du siècle C’est la crise et les banques veulent plus prêter d’oseille La dette souveraine pourrait brûler nos payes … selon la pensée unique des lobbyistes primés « Nobel » des salariés privés d’sommeil, futur criblé d’ bordel désinformation sans cesse pour brimer nos têtes Refrain [Lucien 16’S] [AJT] Les médias restent un commerce Cherche pas la vérité dans l’écho des commères Des journalistes sucent des ministres Parlent de faits divers quand fusent des missiles Quand l’armée russe à Grozny butte des civils Liberté d’expression comme lutte décisive Mais la rumeur et la censure désunissent Enragé comme si j’avais bu d’l’ élixir On peut bien s’informer mais c’est plus difficile Moi, j’vis pas dans le monde magique de Walt Disney (pro nazi) Picsou est trader et a le bizness (l’or massif) Spécule sur les céréales et la misère (Somalie) Sportifs idolâtrés, stupide Star Système (trop risible) Patrons cyniques comme Dark Vador Balkani et Pasqua ont les mains sales comme Al Capone Putes d’énarques, bande de nazes ! Brulent leurs âmes, vendent des armes Au dessus du code pénal Impossible qu’on coffre ces lâches Refrain [Lucien 16’S]
3.
J'pardonne 04:54
[Refrain/AJT] J’pardonne mais je n’oublie pas Ces blessures me façonnent et me nourrissent l’âme J’pardonne pour m’délivrer de la rancune J’pardonne pour alléger le poids de l’amertume [AJT] J’pardonne tes caprices, tes crises de jalousie Par lâcheté, embourbé dans de nocifs raccourcis Disputes futiles que seul le temps adoucis T’as déçus, personne n’est parfait, j’l’avoue triste Surtout quand la beauté d’une fille m’abruti Te conquérir chaque jour pour que se brise la routine J’pardonne de m’avoir dit « je t’aime » sans y croire Le mensonge est facile mais ne peut-être que transitoire Certes, entre nous, ça n’avait rien d’une grande histoire Mais je plains le prochain si tu ne te corriges pas J’pardonne ton égoïsme démentiel qu’a démoli l’essentiel Tu étais émotive mais sincère, névrotique et plein d’haine J’suis pas mieux et j’ai fais s’estomper l’étincelle Intrinsèque, ma lâcheté se révèle J’ai pas su dire c’que j’pensais par stupide réserve -Refrain- [AJT] J’pardonne ta cruauté aveugle Dégouté quand j’ai vu ta méchanceté à l’œuvre Encrassé d’orgueil, entaché d’aigreur Oisif sur un banc à déchanter des heures de zone Un regard d’travers, une baston stérile, hystérique 3 contre 1 sur un garçon fébrile le tamien t’endors et la boisson t’décime A 20 ans, t’en fais 60, à cause de ce poison acide Ta mère seule porte l’humiliation Ses 2 fils à la zonz , elle subit l’affront, muni d’un pompe En excès d’vitesse, musique à fond Stupides actions, tu t’enfonces dans de putrides baffons Pastis, défonce, passif des plombes Tu chavires, t’effondres, dans c’décors aride et sombre J’pardonne car la vengeance est infinie J’veux pas annoncer à la mère d’mon pote : « votre fils est invalide » - Refrain- [AJT]
4.
5.
[Le Gaz] Faire le bien est un défi face auquel on se défile. As tu au moins la notion de ce qu'est le bien? Je ne te parle pas de valeurs morales mais de l'innéisme Créé par le Tout Puissant comme l'harmonie, Salam... Trop de palabres, peu de travail, trop malades, Pervertis par le monde, on se lave, la crasse est sur l'âme, Pas palpable, on trimballe nos péchés, le rap c'est bas Je me tais, je m'évade. Je sais, c'est grave: Si je perds mon temps, je renie le don de vie, je dévie De quoi ? Devine : de la voie, la vraie, divine, le Paradis. Sayko, encore une prod de ouf! On gratte mais frangin, dis moi, c'est quand qu'on bouffe? Faire le bien la manière, on la connaît, elle est sunnite, Rien d'insolite, elle est solide, elle reste unique Donc je me méfie du défi si l'orgueil dicte les règles. La destinée existe, comme le disent les rêves. Refrain [Le Gaz]: On fais le bien, retiens, car on est des hommes, On s'étonne, s' questionne, le temps nous désole, On espionne ses potes, le regard des autres mais le mal rôde, ce monde c'est des barreaux, Reste dignes, respire, enfuis nos vestiges, J'pars en vrille, ouais p'tit, depuis mes 13 piges, Investis dans l'bien, mais c'est un pugilat, et j'suis piégé là, et man, c'est un pur Jihad [breaky] Le Bien est de plomb, le Mal de plume, De plus, le bien a du mal a définir les bons... Tous les jours, le vice me met en joue, Le sheitan me vise, donc j'reste amovible... Je lutte... car souvent mes défauts me lattent Trop lent pour la bonne action, J’ai bien trop de temps de latence, j'entame la danse entre le Yin et le Yang, Mes efforts partent en fumée comme le Bing et le Bang... J'attends le coup de gong Pour enfin donner des coups de mains car jusqu'à maintenant c'était des coups de gants... de boxe! La vie me fume car ma sagesse c’est de l' intox, C'est con, de poser de la tune dans la main d'un toxico Patte de velours, ça c'est pas moi, j'ai bien trop donné! on m'as toujours rendu pour moins... Pour l'être humain, faire le bien c'est trop difficile, Mais j'm’améliore au fil du temps comme une plaie dite « physique »... J'attendrai pas... un de ces soirs d'hiver, où divers sont les faits même quand les fous divergent, où Lucifer t'envoie des fées quand diversion est faite... Pour calmer des effets qui sur ma personne m'affectent Des choix, j’en connais que 2, faut pas que j'déconnecte, La foi de ma voie, si ça foire, c'est la défaite. J'écoute le Très Haut, l'Alpha et l'Omega"! Mais j'entends que des échos, en bas c'est l'Omerta!!! Refrain [Le Gaz] [Rapsa] J’ai pris la plume comme une arme, et paradoxe je veux faire le bien C’est vrai que le mal nous fait du charme pour nous réduire au rang de chien…. Au rendez vous, les grands dévoués, au rang d’MC et voués A la rime, à la ligne, et qui au fond ont tout à prouver. Je suis pas meilleur qu’un autre et dieu merci, je suis pas plus mauvais J’ai bien conscient de mes fautes même si le diable à dit qu’il m’aurait Alors écoute attentivement, c’est ma pensée, mon testament Mon test à moi, c’est de faire en sorte de rependre l’amour prestement. Je préfère mal faire le bien que bien faire le mal, Sois sur que même mal en point, je garde le cap, ma morale C’est la même pour tous, et si tu aimes les coups de pouces Réinvente le dicton un pour un devient tous pour tous. Je suis maladroit, j’essaie, je tente et bien souvent je rate la cible Mais bon… je me dis qu’avec le temps j’aurai positionné mes billes Au cas par cas, au corps à corps, je serai toujours au coude à coude Tu crois en moi, tu me rends plus fort je te le rendrai du simple au double J’aurais dû et j’aurais pu : on connait le refrain par cœur Cette fois, mes défaillances branchent ma conscience sur haut parleur. Putain d’époque d’égoïste, combien s’en moquent, les fautifs Troquent leur gène émotif et c’est le choc des motifs. Le symbole de la victoire, contre un quotidien illusoire Le bien reste bien trop souvent au pied des portes de l’espoir. Je pose ma première pierre et ça commence par un sourire On ne soutire que des soupires, notre ignorance crée nos martyrs. Refrain [Le Gaz] [AJT] Force d’esprit comme une forteresse imprenable les plus braves ont des pneus increvables La vérité comme un graal introuvable Croire ou pas, car les hypothèses sont improuvables Le mal change selon le pays, selon l’époque Selon les familles, selon les hommes, selon les codes Monde injuste : impunité des brutes Supplices des innocents, infirmité, blessures… Faire le mal, par choix ou par nécessité Des jugements hâtifs comme forme de cécité On peut comprendre sans non plus excuser Mettre un carton jaune avant d’expulser On succombe tôt ou tard à la danse du vice Tous coupables sur un fil, en sursis Je vise la pureté suprême : un cœur translucide Pour me sentir libre à l’heure du chant du signe Refrain [Le Gaz]
6.
[AJT] Des écarts au conformisme font d’parfois d’moi un incompris Peu importe, la joie s’invite bien souvent à l’improviste Le courage et la patience sont nécessaires pour s’accomplir Au fil du temps, ça s’complique, on vacille sur l’axe qu’on suit Un pragmatisme forgé par mes affres, mes rancœurs La vérité tétanise les hommes comme Jacques l’Eventreur J’tacle les menteurs, les lâches délateurs Des mentalités polluées à l’image de la terre Coincé dans les tirs, dans c’match délétère Sentier d’l’humanité souillé par des traces éloquentes Ici, tu peux croiser l’Diable derrière un masque élégant A mes dépends, j’ai pris des claques et des vents, raté des plans Petit, j’voulais épater les grands et éclater les bandes Détaler des pentes, trouver l’repos dans la vallée des anges Me laissé guider, porté par mon âme et mes sens Dans une équipe de bras cassé, au pouvoir fracassant Agaçant, attachant, impliqué dans c’taf harassant L’esprit torturé par des mystères embarrassants D’la tristesse dans le regard comme un pilier d’bar, assis Pas facile de trouver son chemin, destin abrasif Inégaux depuis l’berceau entre optimistes et dépressifs Nombreux trouvent dans les cieux une aide précieuse, nette, précise D’autres s’déprécient ou souffrent de façon expressive Et au cours du trajet, le cercle d’amis s’rétrécie La vie n’tiens qu’à un fil, tendu au dessus d’un précipice Refrain [Paule Emploi] o cotidiano cheio de pena vai dar so se a força intima disloca a dor da correria nem paz nem trega nao quero ficar no ar do tempo eis aqui o meu roteiro nem paz nem trega nao quero ficar no ar do tempo eis aqui o meu roteiro a vida inteira para achar se mesmo na sinfonia nem paz nem trega [AJT] J’ai pas l’goût d’parler d’banalités Encore moins de m’croire meilleur par vanité Parasité par un voile de futilités Le présent est une mélodie qu’on improvise Chaque instant, tout se reconfigure et se synchronise Une vie entière pour trouver sa place dans la symphonie L’harmonie entre complexe raison et simple folie J’apporte seulement ma pierre à l’édifice, explicite Quotidien rempli d’peines et d’sacrifices J’ai appris vite qu’c’est aux confins du néant qu’mènent les artifices Inspiré par les partis pris des artistes tristes J’n’attends plus la paix ni même l’armistice Par ici, le mal est présent à travers le viol ou le parricide J’m’en fous d’être dans l’air du temps C’est une perte de temps d’vouloir sans cesse plaire éperdument Même si j’avoue, le regard des autres me préoccupe La joie est là mais au fond de moi, la peine l’occulte J’veux m’abreuver près d’l’eau pure Ablutions pour soigner ces plaies obscures Pour pas stagner, j’vise toujours très au dessus A chaque carrefour, j’tergiverse devant ma feuille de route Trajectoire faite de peurs, de doutes, d’écueils, de coups Refrain [Paule Emploi] [AJT] Des écarts au conformisme font d’parfois d’moi un incompris Peu importe, la joie s’invite bien souvent à l’improviste Le courage et la patience sont nécessaires pour s’accomplir Au fil du temps, ça s’complique, on vacille sur l’axe qu’on suit Un pragmatisme forgé par mes affres, mes rancœurs La vérité tétanise les hommes comme Jacques l’Eventreur J’tacle les menteurs, les lâches délateurs Des mentalités polluées à l’image de la terre Coincé dans les tirs, dans c’match délétère Sentier d’l’humanité souillé par des traces éloquentes Ici, tu peux croiser l’Diable derrière un masque élégant A mes dépends, j’ai pris des claques et des vents, raté des plans Petit, j’voulais épater les grands et éclater les bandes Détaler des pentes, trouver l’repos dans la vallée des anges Me laissé guider, porté par mon âme et mes sens Dans une équipe de bras cassé, au pouvoir fracassant Agaçant, attachant, impliqué dans c’taf harassant L’esprit torturé par des mystères embarrassants D’la tristesse dans le regard comme un pilier d’bar, assis Pas facile de trouver son chemin, destin abrasif Inégaux depuis l’berceau entre optimistes et dépressifs Nombreux trouvent dans les cieux une aide précieuse, nette, précise D’autres s’déprécient ou souffrent de façon expressive Et au cours du trajet, le cercle d’amis s’rétrécie La vie n’tiens qu’à un fil, tendu au dessus d’un précipice Refrain [Paule Emploi] o cotidiano cheio de pena vai dar so se a força intima disloca a dor da correria nem paz nem trega nao quero ficar no ar do tempo eis aqui o meu roteiro nem paz nem trega nao quero ficar no ar do tempo eis aqui o meu roteiro a vida inteira para achar se mesmo na sinfonia nem paz nem trega [AJT] J’ai pas l’goût d’parler d’banalités Encore moins de m’croire meilleur par vanité Parasité par un voile de futilités Le présent est une mélodie qu’on improvise Chaque instant, tout se reconfigure et se synchronise Une vie entière pour trouver sa place dans la symphonie L’harmonie entre complexe raison et simple folie J’apporte seulement ma pierre à l’édifice, explicite Quotidien rempli d’peines et d’sacrifices J’ai appris vite qu’c’est aux confins du néant qu’mènent les artifices Inspiré par les partis pris des artistes tristes J’n’attends plus la paix ni même l’armistice Par ici, le mal est présent à travers le viol ou le parricide J’m’en fous d’être dans l’air du temps C’est une perte de temps d’vouloir sans cesse plaire éperdument Même si j’avoue, le regard des autres me préoccupe La joie est là mais au fond de moi, la peine l’occulte J’veux m’abreuver près d’l’eau pure Ablutions pour soigner ces plaies obscures Pour pas stagner, j’vise toujours très au dessus A chaque carrefour, j’tergiverse devant ma feuille de route Trajectoire faite de peurs, de doutes, d’écueils, de coups Refrain [Paule Emploi]
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Intro [Magda] « Ascultati Redudtabil. Nu vrem sa facem parte din turma, nu vrem sa facem ca vor ei. La dracu cu toti rasistii din lumea asta. Ia-ma asa cum sunt ». [Traduction] « Vous écoutez "Redoutable". Nous ne voulons pas être des moutons, nous ne voulons pas faire ce qu'ils veulent. Au diable avec tous les racistes du monde. Prends moi comme je suis. » [AJT] Exubérant, vociférant, trop différent, fautif errant Flow qui dérange, mots sidérants, j’ bosse, m’enivrant Pose c’est plaisant, causes abondantes, guerre aux géants, l’air opérant, plaire aux passants, rôle apaisant, stone à présent Chaud, comme la Seine-Saint-Denis, c’est la fête, c’est samedi je m’extasie, reste agile, qu’est-ce t’en dis ? L’ voisin veut qu’on baisse la zik, s ‘taise à vie, nerfs à vifs Stress en ville, beaucoup d’ problèmes naissent la nuit Braquage d’instrus, largage d’insultes, En « arcade », j’ m’insurge, le langage m’impulse Marché concurrentiel, zik et biz: consubstantiels Son conçu sans haine, contre ceux qui conspuent sans cesse Inébranlable, libre, dans l’ style, l’étendard J’ rime et j’ mens pas et j’esquive les standards Frime et ports d’armes, fric et scandale Films et fantasmes, spliffs et champagne Redoutables, on débarque et déballe puis détale Refrain [Kazodah] Le son est redoutable C’est tellement lourd qu’ tu pettes un câble Ici on a rien à perdre, on passe des liasses à la gardav’ Redoutable, débite des lyrics trop trop graves Redoutable, redoutable [Fondzy] Matte le stress qu'on t'a mis , la détresse contamine en bas ca s'anime, ça nie , ca s'nique et ca se salit trop de calibres dans des cabines , reste zen comme Zazie trop de calines, de nazis et d'extazi dans des asiles rien qu'on rêve , c'est con frère , à la règle, c'est contraire c'est la guerre des confrères , depuis naguère, rien qu'on freine rien que des mines horrifiées et des minorités Où est ce qu'ils ont mis nos idées ? dans l'animosité trop de commères en collant ,trop de collègues en colère Reste correcte, les gars amères ont connait, les galères on commet on s'arme, on s'allie, on salive, on s'allie, on s'salut C'est ca l'ère, nique sa mère, c'est salé, pas de salaire, c'est ça mec pas de vis-a-vis, vis ta vie, enfile ça vite, en ville, tu vires tu casses des câbles, tu croises des "cas", des camés ,des cramés décalés, dépravés, des pavés, des épaves, des galets égarés, du gravier, Tu gravites sur le granite, grave vite t'es gavé Refrain [Kazodah] [AJT] Iconoclastes, kif nos comparses, zik qu’on propage Contre le triste formatage, en temps d’ crise trop fatale Des clones conformistes, place des Terreaux s’ pavanent La jeunesse française entre techno/ rap trash Inexpugnables, comme des héros spartiates Inexcusables, trop de blaireaux parlent mal J’ vois une économie virtuelle mais de vrais créances L’austérité comme minotaure, bête méchante Goldman Sachs baise des gens et la Grèce déchante Les traders allument la mèche, Moody’s verse l’essence Stress naissant, perte de sens, averse de sang Guerre de gangs, la mafia agresse des anges Matière Sombre, redoutables pour une belle épopée Stoïques comme Mandela devant la peine écopée J’éjecte le roi d’ son trône si sa reine est OP Règles révoquées pour concrétiser les rêves escomptés Refrain [Kazodah]
8.
9.
[AJT] Optimiste par nécessité, Hors d’ question d’ voir ma chance laisser filler J’avance sans cesser d’ rêver, trimer sans déprimer Limer ces barreaux, y croire jusqu’au bout, en mode "déterminé" Les coups d’ fouet d’ la patience endurcissent Et l’érosion des années m’ rend lucide Le métier rentre, j’ voudrais réussir avant être vétéran Sans faire l’opportuniste comme Mittérand, déterrant La hache de guerre si il le faut, vénérant Ceux qui combattent avec les mots, vrais et francs La vérité blesse mais l’amour guérit J’ignore où la vie mène mais je savoure le périple Des gens biens, dans la bravoure périssent Et des ex nazis meurent de vieillesse, très riches Difficile de trouver un sens vue ces injustices Ici bas ou ailleurs, la balance s’équilibre J’avance l’esprit libre, avant qu’ cette errance se finisse Au fil du temps, le silence sécurise L’amour manque, c’est l’immense pénurie Prendre distance prémunie, quand on vit près du vice Viser l’ droit chemin est le plus difficile Observer/ Apprendre nécessite d’ la discipline D’ici s’ brisent, des trajectoires, des destinées Les échecs sont impossibles à esquiver à prévoir, estimer, un pouvoir limité, même quand le système te fait croire le contraire Ceux qu’ont écumé des déboires le comprennent Tombés de haut, du toit de Babel Refrain [Katerina Ivanovna] Un moment d’inattention et tout bascule Un changement de direction et nos espoirs reculent Avançons et restons fiers, levons le poing Nous sommes les perdants d’hier et les vainqueurs de demain Ce monde est rempli d’illusions et chacun affronte à sa façon Mais c’est de plus en plus dur On se rassure, on censure Mais rien de sûr pour demain Des rayures sur les bavures On nous assure que tout va bien On mêle encore le faux au vrai : où est le bon chemin ? Si certains ont abandonné, nous, on suit notre instinct [AJT] La peur régit nos vies, nos craintes dévient l’ navire Au fond de nos cœurs, la phobie du vide Trouver la vérité comme folie ultime Dés la couveuse, la mort promise d’office Prodige sublime, nature parfaite au paroxysme Pas docile, fuyant la léthargie du conformisme Confort triste, normalité blindé d’ maquillage J’ gratte un peu, voir au delà d’ chaque image Septique devant c’ qui brille, le charme minable Dans chaque clivage, j’ m’ adapte, m’acclimate M’attache, pour trouver ma place, j’ m’ applique grave Tout est possible, chaque rêve est accessible Le bien être est éphémère alors j’ l’ apprécie Vu l’histoire qui s’ répète, l’homme est amnésique Milles preuves qu’aucun problème se résolve agressif J’garde espoir qu’ s’atténuent ces luttes fratricides J’participe à ce système, pourtant immoral J’ai choisi d’être là, c’est ça ou l'ermitage Un jour médaille d’or, demain lanterne rouge Drapeau en berne couz', perdre en pleine course Hier en pleine forme, aujourd’hui contre-performance Tout est mouvement et tout recommence Le score final est sans importance Chaque jour j’apprend, à chaque coup qu’ je prend Refrain [Katerina Ivanovna]
10.
[AJT] Mutant, j’ résiste aux insecticides Imprévisible, assez nuisible, j’t’ harcelle la nuit [Refrain/AJT] C’est une piqure douloureuse La source de tes cauchemars Une attaque pernicieuse Laisse des traces sur tes bras, gauche/droite [AJT] Sans l’ombre d’un doute, je fonce, je goûte C’est bon, c’est cool, je sors de mes gongs, j’ déboule Tous le monde écoute, des blondes s’ défoulent, s’ défoncent, c’est fou Sanguinaire, ça sent l’ vinaigre, sentinelle, dans l’ Guiness Antithèse des gens qui testent, en finesse, sans pitié, en vitesse Insecte/vampire, j’assiège l’empire, ceux qui saignent s’enfuient J’te sais sensible, t’essayes de t’enfuir Mais trop tard, j’te rattrape et t’attaque, d’la patate D’un forain Zavata, la défaite, la cata [Refrain]
11.
Refrain [AJT] On veut tous profiter de notre jeunesse Une vie cool, d’l’ alcool, d’l ‘argent et du sexe La démesure, la luxure, l’allégresse Nos besoins sont comblés mais nos désirs nous oppressent Enfants « gâtés », du bon côté d’la barrière Loin des pandémies, des guerres civiles, d’la misère Une poignée d’ chanceux pour des milliards d’ sacrifiés Rien n’est prêt d’ changer car ce monde est ainsi fait [AJT] On s’intéresse moins à ce que tu es qu’à ce que tu as A combien coûte ta rolex ou ta Porshe Carrera Qu’t’ai fais fortune légalement ou dans l’argent sale Tous le monde s’enfout, la vérité n’est pas « rentable » Faut s’ montrer, et toujours prendre l’avantage T’es prédateur ou sinon, c’est l’ plantage lamentable J’te ment pas. Ils visent tous le sommet de la montagne Des liasses, un bureau en haut d’la Tour Montparnasse L’étau s’ resserre, des pauvres décèdent, des lacs s’ dessèchent C’est vrai, la finance impose les règles, escroquent les faibles, grosse défaite. Les prolétaires ont trop les nerfs mais personne n’ prône la guerre Vu qu’on a tous, trop à perdre, faut l’admettre Nous n’ sommes pas les plus à plaindre Ecole gratuite, crèches, allocs, retraites Des chinois tafent pour être payés comme des merdes Des gamins tafent, ici, ils sont traités comme des maîtres Dépenser, investir, s’ défoncer, s’amincir Baiser sans s’aimer, consommer sans arrêt Hypocrites par paraisse, utopie à la baisse Pales-copies à la pelle, la folie du système Refrain [AJT] [AJT] Dépressifs en neuropsychiatrie Des plaies, de nombreuses cicatrices Des doutes, des peurs qui tétanisent Carences au cœur de vitamines Ados en surcharge pondérale C’est sûr gars qu’on déraille, d’la merde à la surface qu’on étale Du poison pour les pauvres dans l’Probo Koala Du mercure dans l’ corps, des mômes trop tôt, trop malades Des forêts rasées, des buchmens décimés, Opulence sanglante pour des « bouffes merde » décriés Des milliardaires marchent sur un plafond d’ verre A vouloir les imiter, combien dans les baffons s’ perdent ? Des garçons crèvent, dupés par les marchands d’ rêves La justice meurt, quand seul l’argent règne Formatés par la pub, aux pulsions consuméristes A vouloir la défendre, c’est la liberté qu’on pulvérise Vacuité spirituelle et fièvre acheteuse Richesse en trompe l’œil avant une chute désastreuse L’écart s’ creuse, des femmes ruinées pompent des crasseux Partagent le trottoir, avec les esclaves des mafieux Trafic devant une cécité complaisante Oppressante, dans les rues d’ Lyon, y’ a des tapins qu’ont 16 ans. Refrain [AJT]
12.
[AJT] Sur l’ terreau d’ la parano, les pigeons flippent Les réacs veulent voir les corbeaux, dans des prisons tristes L’aigle royal esquive la cage car juge et parti Peuple aveugle et suicidaire comme la lutte des martyrs J’ai pigé qu’ les pigeons ont souvent l’instinct grégaire Des phobies absurdes et obscures les fédèrent, "déters" Ils pensent pouvoir acheter leur place dans l’Eden Effacer leurs dettes et déjouer les Cerbères, sur terre Rien n’ presse, on fera les comptes à la fin du match Faut s’armer de patience pour décrocher la ceinture noire La peur du futur pousse à la procrastination L’incapacité d’anticiper cause l’agitation Les millénaristes prédisent l’Armageddon La fin est proche même si à première vue, le Karma est bon Epouvantail ubiquiste en forme de croissant d’ lune Pour les raslards défaitistes qu’ la chute d’ la croissance fume La tolérance distancée dans la course des extrêmes Dans les cambrousses, des nostalgiques ont la frousse et s’énervent Tous désespèrent, comme Brévik des fous dégénèrent Malade mental ou conscient ? c’est le flou des experts ! Passer d’ami à ennemi comme Sadam Hussein L’impunité pour les coupables du cassage du siècle
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Intro: extraits de film [AJT] La rectitude du cœur comme principe intangible Simple maillon d’un sain cycle infini Dans l’ ciel mystérieux, les étoiles scintillent, invincibles Les rescapés du coma ont senti l’invisible Les matérialistes s’empiffrent, insensibles Au cieux, les vaniteux n’emporteront pas un centime L’humanité a brûlé dans les goulags de la Kolyma Esclaves enterrés dans un macabre anonymat Ici et là, peuples guidés par des parias inévitables Depuis la nuit des temps, un partage inéquitable Le Congo pleure ses morts aux abords des mines de diamants Et l’oligarchie conditionne cette mise à l’amende [Fondzy] Rien ne m’appartient, même pas moi même frère Une disparition que le Tout Puissant lui même freine On est trop limités et faibles intérieurement Les gens ont l’ mal de mer Les matrices enterrent leurs noms Et leur appareil spirituel qu’on appelle le cœur Relation conflictuelle, l’époque appelle au meurtre Comme Caroline Fourest, l’humain participe au mensonge Sous l’iceberg, j’observe un monde tellement sombre J’ai rejoins le rang d’ la paix comme Yousouf Islam Une erreur commise de front au sol est une erreur qui s’ lave J’invoque un Dieu miséricordieux, pardonneur sage Pour l’ensemble des mondes, ceux qui sont conscients du bonheur savent [breaky] Être Aussi loin de...ça ça m'fait baliser... Tenir une main quand celle-ci te lache et rétorque: "on verra main-de..." Au moindre cauchemar, souvent vers 3h - 02 tard le soir j'vois ma Mère faire ses valises... Oui je balise trop, ma vie est éphémère comme ce gamin sur une route sans balises... cherchant... son balisto,… Réalise gros La mort m'espionne on m'a dit porte plainte à la lice-po! Aussi loin de la vrai textuel: Fondzy ou Rapsa, J'respire mieux le Gaz / AJT que le Rap Sale... Le sens de ma vie m'as mis une distance souvent j'y pense aux moment ou le Rap et ses Discs dansent... [Refrain/ MG] [Full Track] Aussi loin que ma voix s’élève pourvu qu’ mes idées grondent Comme le tonnerre l’hiver, fêlé, mon cœur s’inonde Frérot, tu vois qu’ l’ immonde mais tu ignores le Très Haut Tu t’isoles du très beau depuis les bancs de l’école Tu rejettes le Peace and Love car le love t’a trop pissé dessus T’as vite rejoins les deçus Le mal a prise le dessus, tu vois la vie en noire pas comme Edith Tout seul tu broies du noir et médites Au fond, on a tous le même but, la quête de notre vérité [Rapsa] A chaque note chaque souffle chaque seconde ou je respire je rêve de fuir et expire m'extirper de l'ombre qui veut m'enfouir toujours plus loin pour être au près de mes pensées les plus enfuis revivre les heures de gloire d'un âge que le temps à englouti refaire surface changer d'espace, partir loin, être plus prêt mon idéal s'efface et trace des dessins en forme de couperet étouffé, éprouvé, malgré l'envie de rire et prouver que les écrous écrasent des têtes et trouvent refuges dans nos pensées Comment panser les plaies ouvertes? On vit sous hémorragie malgré tous nos vers de détresse, aucun ténor n'a réagit alors on vit et on rêve, jours vides et nuits brèves pour l'heure au fond de mon cœur, seule la grisaille prends la relève [Refrain/ MG] [Nono/ Harmony Brisée] La mort fait partie de la vie Chaque jour que Dieu fait, nous on prie Pour nos frères et nos sœurs qui subissent Car la mort est un fond de commerce Toi tu es mort et l’État encaisse Le manque d’honneur qui prend peu d’ place Parmi ce monde de ouf Qui ne jure que par les off, la catastrophe c’est : De survivre, nous on vit Ils sont en crise, nous méprisons Ils s’épuisent et nous rions : situation critique A chaque jour que la nuit tombe, les frères et sœurs succombent aux balles Leurs corps jetés dans une tombe, leur vie n’est qu’une pierre tombale Comment veux tu qu’ils restent calmes ? L’état les charme avec des changes Un seul sursis de vie, moi je trouve ça étrange On prend nos peuples sans leur laisser une chance de se défendre Ici les guerre contre le temps, les pierres contre les tanks Les frères sont contre le temps, contre l’État, contre l’OTAN Ils nagent à contre sens sur flaque de sang Mais comprends tu pourquoi je rap à contre temps ? Pourtant si jeunes et seuls, ils veulent les reines Mais sans boussole, les têtes qui tombent A même le sol, y’ a trop de sang sale Sur chaque emprunt d’une vie très sombre Sous chaque emprunte, ça creuse la dalle Sous la contrainte de trop d’ contrats Où tu va, ces 5 contrôlent Là où tu vas, aucun gamin n'a l'auréole [Sab Z] Aussi loin que mes rêves m’emportent J’ai peur que mes jours soient comptés Que je reste ici, peu m’importe Quoi qu’on fasse, on est condamnés Dans ce monde qui ne tourne pas rond Les gens ne cessent de me juger Tous ceux qui me demandent pardon Si ils reviennent, c’est pour m’achever [Judu Blues] Changer quelque chose à son destin Parvenir à ses fins Finir la route pour que demain, tous les doutes soient loin J’irais me frotter à l’aventure A tous les ratés à l’usure Refaire le monde de mes mains Je garde en tête d’où je viens [MG] © 2014, MS Label Enregistré au studio Bazaltique, Lyon (France) Musique composée par Comin Death Paroles écrites et interprétés par AJT, Fondzy, breaky, Rapsa, Full Track, Judu Blues, MG, Nono, Sab Z. Morceau mixé et masterisé par DJ Speed
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REMERCIEMENTS
DJ Speed pour ta patience, ton investissement,
Tout ceux qui ont posé avec Matière Sombre, ceux qui nous aidés, soutenus, adressés des critiques pour qu’on avance.
Dédicace à l'entourage musical d'hier et d'aujourd'hui: Minsk, breaky, Le Gaz, DAF, Félonik, Rapsa (merci pour ta présence à nos concerts), Laurine, Fondzy, Merkur, Snake, Heartical Theos, Kazodah, Paule Emploi, Kreyfd-J, Blackshadow, Killowatt, Vicdo, Lucio, Lucien 16'S, Hamedy, Larim Masta, Antho (Gatsun Radio), Viviane (CCO), Portuno, DJ Tinsten, JB Night Trafic, Art Ter, Antho de Gatsun Radio..., Medhi, Judu Blues, Sabrina, Giacomo (CRAP), Chieb, Full Track, Soundzbro, Libre Penseur, Loïc, Alex, Kofeatsiké, Jay T, DJ El Son...
Les amis d’ici et ailleurs qui sont passés à nos concerts, tous ceux qui ont écoutés nos sons, tous ceux qui ont fait tournés nos morceaux: Claire, Stéph, Karin, Perle, Marie, Pauline, Faustine, Maija, Will, Yann, Franck, Flo, Aurélie, Seb, Jérémie, Foued, Raph, Fatima, Baptiste, Lucas, Elise, Amandine, Yannick, Manale, Anissa, Julien, Marjo, Le Kant, Etienne, Yann-Lo, Thibaut, Mohamed, Ryad, Clément, Virginie, Astrid, Elin, Louis,Claire, Romain, Axel, Amandine, Fanny, Ramon, Victoria, Valentine, JB, Adeline, Morgan, Louise, Angela, Trine, Sabine, Martin, Nar, Asia, Zbrigniev ,…
On ne peut pas penser à tous le monde, alors nos excuses à ceux que l’on a pu oublié de citer. On reviens bientôt. Restez à l’écoute.

credits

released November 11, 2014

© 2014, MS Label, Tous droits réservés
Enregistré au Studio Bazaltique (Lyon, France) par AJT
Mixage et mastering par DJ Speed
Musiques composées et arrangées par Comin Death
Paroles écrites et interprétées par AJT
Pochette réalisée par Jérémy ZUCCHI

Pour nous contacter :
Matière Sombre : matieresombre.contact-at-gmail.com

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Matière Sombre Lyon, France

Matière Sombre est un groupe de rap, qui s'inscrit musicalement dans la lignée de 2 sous-catégories : le "rap conscient" et le "rap instrumental", appelé aussi "abstract hip-hop".
Originaires de l'agglomération de Lyon, le compositeur Comin Death et le rappeur AJT ont formé Matière Sombre en juin 2010.
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